SAINT-QUENTIN

 

 

Basilique Saint Quentin

 

 

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Découvrir la clôture du choeur

Vitraux de la collégiale

La construction é débutée à a fin du XIIe siècle, le chevet terminé au début du siècle suivant.

Au XIIIe siècle, la collégiale est un des plus grands édifices religieux de France. Plusieurs campagne  de travaux se poursuivent jusqu’au XVe siècle.

La façade ne fut jamais achevée du fait de défauts de structures. Restaurée au XIXe, elle l’est de nouveau après avoir beaucoup souffert pendant la première guerre mondiale.

C’est en 1876 qu’elle est élevée au rang de basilique.

 

 

L’entrée se fait par le bas coté sud. S’y trouve la chapelle des fonts baptismaux.

 

 

Chapelle dédiée à Saint Quentin et Saint Louis.

 

On y trouve un très belle arbre de Jesse du XVe siècle

Deux anges encadrent le Christ Sauveur sous Adam et Eve couchés sur l’accolade du tympan.

 

 

 

Précédent la nef, « la lieu de Jérusalem », du XVe siècle, qui permettait au Saint-Quentinois de parcourir à genou ce labyrinthe en remplacement du pèlerinage qu’ils ne pouvaient effectuer.

 

 

 

 

 

La ligne noire du sol des bas coté est composé d’anciennes pierres tombales souvent effacées.

 

 

Le bas coté nord possède quatre chapelles, la première étant la chapelle Notre Dame sous la tour

 

Apparition du Christ à Saint Thomas, œuvre du XVIe siècle et restauré en 1860.

 

… puis Chapelle Sainte Barbe … Chapelle Notre Dame de Liesse

 

 

Enfin la Chapelle Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, ancienne chapelle Saint Michel

 

 

Coté sud, deux chapelles...

 

La chapelle du Saint Sépulcre orné d'une crucifixion du XIXe

 

 

 

Chapelle Sainte Madeleine et Sainte Marthe, fresques du XVe siècle.

 

Le voyage pour Marseille

 

Le Ravissement de Madeleine à la Sainte-Baume

 

 

 

 

 

Le bras nord du transept est dédié au Sacré Cœur depuis le milieu du XIXe siècle.

 

Saint Quentin

Vierge à l’Enfant

 

Deux statues du XVIIIe dues à Edme Bouchardon

 

La dédicace du Transept Sud est à Notre Dame du Rosaire.

 

Sainte Pécinne ; Saint Nicaise et Sainte Marguerite

 

L’accès à l’ancien cloître (disparu) a été muré au XIXe et habillé des statues de saints patrons des paroisses de la ville au XIIIe siècle.

 

 

Notre Dame ; Saint Quentin et Saint ANdré

Ste Catherine ; saint Rémi et Saint Thomas

 

 

 

Le chœur est entouré d’un déambulatoire.

 

 

Sur le mur de la clôture du choeur des scènes du martyr de Saint Quentin y furent sculptées mais les œuvres originales ont été détruites à la révolution. Elles ont été refaites à la fin du XIXe siècle.

 

Cliquez sur la photo pour les découvrir …

 

 

 

 

Le maître Autel a déserté le chœur de la basilique, mais subsiste l’antique Sacrarium du début du XVe. Cette armoire aux portes de fer renfermait les reliques.

 

Charlemagne - XVIIe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Douze chapelles entourent ce chœur dont cinq sont rayonnantes.

La disposition n’est pas symétrique, le coté gauche ne possède que deux chapelles.

 

 

La première chapelle est dédiée à Saint Quentin avec  un vitrail moderne au bleu soutenu.

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapelle Notre Dame des Sept Douleurs.

 

 

Piéta du XVIe siècle

encadrée par Saint Nicolas et Saint Paul

 

 

Chapelle Saint Louis, gisant de Pierre d’Estournel de de sa fille Adrienne – XVIe siècle.

 

 

 

 

 

Saint Michel terrassant le dragon - XVe siècle

chapelle du Saint sacrement

Chapelle Sainte Croix

 

 

 

 

 

La dernière chapelle rayonnante est dédiée à Saint Roch.

Dalle funéraire en marbre noire du XIIIe siècle, Mathilde Patrelotte.

 

Viennent alors les cinq chapelles du bas coté sud du déambulatoire…

 

 

 

Chapelle Sainte Anne

chapelle Saint Fursy,

non accessible, mais pourvue d’un étage abritant la Vieille Trésorerie

chapelle Saint Eloi

 

 

Déploration du Christ du XVIe siècle

 

 

 

Chapelle Sainte Cécile

Chapelle Notre Dame la Bonne

Notre Dame de Labon - XIVe

Fresque du XVe siècle de la Nativité et de l’Adoration des Mages

 

 

Enfin, retour dans la nef et un regard sur les grandes orgues dont le buffet, est de Jean Bérain dessinateur du roi Louis XIV.

 

 

 

 

 

 

 

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