PROVINS

 

 

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la ville haute était paroisse dès l'époque mérovingienne et de Saint-Quiriace dépendaient deux basiliques, Saint-Pierre et Saint-Paul, qui deviendra Saint-Thibaut.

L'essor et la prospérité de Provins datent du XIIe siècle lorsque les comtes de Champagne en firent un des principaux centres de grandes foires internationales.

Vauban disait que la ville haute de Provins possédait presque autant d'églises que de maisons. De celles-ci, nombreuses ont été abattues lors de la Révolution, et il n'y a plus que trois grandes églises restées paroissiales.

Sous Henri Ier de CHAMPAGNE est commencée Saint-Quiriace, embellie Saint-Ayoul.

Collégiale Saint Quiriace

Eglise Saint Ayoul

Avec les foires, les marchands et les pèlerins affluent. L'installation des chanoines réguliers amena la fondation de l'Hôtel-dieu à la fin du XIIe.

L'église Saint-Pierre, fondée antérieurement à 1157, une des quatre églises paroissiales de la ville, fut entièrement détruite à la Révolution.

Deux autres églises qui se trouvaient encore dans la ville haute eurent le même sort à la même époque Notre Dame du Châtel, située près de l'Hôtel des Petits Plaids, fondée en 1247 et Saint-Thibaut, primitivement dédiée à saint Paul. La comtesse Marie de Champagne fonda en 1196-1197 l’église Notre-Dame-du-Val.

Les libéralités vont aux ordres nouveaux : Frères Prêcheurs imposés en 1270, sur le territoire de la paroisse Saint Pierre, par Thibaut V (les futurs Jacobins); les Cordeliers, fondés en 1233 par Thibaut IV et dont le couvent élevé sur l'ancienne place du marché de 1284 à 1395 et Sainte-Croix seront l'objet des principaux embellissements.

Eglise Sainte Croix

 

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