HARFLEUR

 

 

Eglise Saint Martin

 

 

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L’église d’Harfleur est citée dans une charte de Robert le Magnifique en faveur de l’abbaye de Montivilliers le 13 janvier 1035. Cette dépendance de Saint Martin dura jusqu’à la Révolution en 1790. Pendant cette longue période l’édifice fut reconstruit à plusieurs reprises et il ne reste que peu de vestiges des édifices des XIe, XIIIe et XIVe dans l’église actuelle qui date du XVe siècles.

Le portail occidental a été restitué tel qu’il a été voulu par Louis XII en 1630, recouvrant celui de Charles VII.

 

Vestiges du portail du XVe siècle…

Saint André

Apôtre

 

Jadis autel du chœur, ce retable du XVIIe siècle a été installé dans la première chapelle sud.

Dieu le Père domine l’ensemble

 

Les deux statues encadrant le tableau central ont été réalisées par Pierre François HAUMONT, sculpteur de navires au Havre.

Saint Martin, évêque

Crucifixion par Jean Baptiste PLUMOT - 1810

Saint Henri de Bamberg

 

 

 

Les deux chapiteaux, du XVIe siècle, qui supportent la tribune, sont ornés de musiciens et de danseurs.

 

Au dessus de la porte, médaillons reprenant des épisodes de la vie de Saint Jean Baptiste.

 

Détruit en 1806, la bas coté sud a été remplacé par une série de chapelles.

Autel du XIXe par Félix BONET

Chapelle Saint Martin

Tableau de La Charité de Saint Martin œuvre de Emile Julien

 

Vierge à l’Enfant

Sainte – statue du XVIIIe

 

 

 

 

La Madone Bridgewater de Raphaël

copie réalisée au XIXe

 

 

 

 

Vierge à  l’Enfant - XVe

Chaire à prêcher du XVIIIe provenant de l’hôpital du Havre

 

 

 

Bénitier du XIVe

 

 

 

 

Plusieurs clefs de voûtes dont certaines en pendentifs ornent les voûtes.

 

 

Plusieurs graffitis marins du XVe au XVIIIe siècles rappellent qu’Harfleur a longtemps été le souverain port de Normandie

 

Pierre tombale  d’Anne VASTIER – XVIe siècle

Pierre tombale de Jean de HINGELHEIM - XVIe

 

Ruiné par manque d’entretien, au début du XIXe siècle le bas coté sud est détruit.

 

 

Haut de 83 mètres, le clocher est surnommé le phare du pays de Caux depuis le XIXe siècle.

Portail nord construit à la demande de Charles VII en même temps que le portail occidental.

 

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