SAINT-LEONARD-DE-NOBLAT

 

 

Collégiale Saint Léonard

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Les stalles

Au cour de la seconde moitié du XIe siècle, le monastère qui s’était constitué autour de l’ermitage avait été transformé en collège de chanoines.  C’est à  cette époque que commence la construction de l’église collégiale sur un terrain offert par Ithier CHABOT, évêque de Limoges.  

La façade a été refaite au XIIIe siècle.

 

 

Saint Roch – XVIe siècle

Vierge à l'Enfant assise – XVIe siècle

Vierge tenant l'Enfant sur son bras gauche

Haut relief du XVe siècle

 

Le baptême du Christ par LA SEGLIERE - XVIIIe

Les lamentations de Jérémie par Jean Gilbert MURAT

 

Le chœur a été refait durant la deuxième moitié du XIIe siècle, surélevé et consolidé au XVIIe siècle.

Les croisillon sont couverts de coupoles et la croisée est quant à elle éclairée par une tour lanterne.

 

 

Dans le croisillon nord du transept, groupe sculpté du XVIe siècle représentant une Vierge de Pitié. La polychromie est moderne.

 

Dans le croisillon sud, éléments d’un retable en albâtre réalisé en Angleterre dans la première moitié du XVe siècle.

Assomption

Crucifixion

Adoration des mages

 

Dans le déambulatoire, statues en bois polychrome du XVIIIe siècle représentant les quatre évangélistes. Saint Jean est le seul accompagné par son symbole, l'aigle, posé à ses pieds

Saint Mathieu

Saint Luc

Saint Marc

Saint Jean

 

Sept chapelles rayonnantes bordent le déambulatoire

 

 

 

 

 

 

 

 

Vierge à l’Enfant en bois doré du XIXe siècle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Dans le chœur, retable en bois doré surmonté d’une armoire à reliquaires du XVe siècle.

L'ensemble des chapiteaux du choeur à été daté de la seconde moitié du XIIe. Ils présentent un décor non homogène sculpté de sujets variés.

 

 

 

 

 

Crucifixion du XVIIe

 

Le clocher, restitué par une restauration au XIXe siècle, est typiquement limousin.

Le porche carré qui se trouve à sa base est divisé par neuf colonnes coiffées de chapiteaux sculptés de sujets variés.

 

 

 

 

 

 

 

Ce porche donne accès à la chapelle du sépulcre, entre le clocher et le croisillon nord. Daté du XIe siècle, cette chapelle circulaire est couverte d’une coupole portée par huit colonnes.

 

 

 

 

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