LA CHAISE-DIEU

 

 

Abbatiale Saint Robert

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La danse macabre

Derrière la vielle fontaine, du début du XVIIe, se présente la façade austère de l’église abbatiale Saint Robert. L’abbaye de la Chaise Dieu est régie par la règle de Saint Benoit. Son église abbatiale date du XIVe siècle, elle est due aux largesses du pape Clément VI.

Bien que gothique, elle est quasi dépourvue d’ornementation, à l’exception de son portail qui a hélas beaucoup souffert des agressions des hommes et du temps.

 

Le trumeau est occupé par la statue d’un évêque quant au linteau, on devine qu’il représentait l’entrée du Christ à Jérusalem.

 

 

Le jubé est dominé par une crucifixion du XVIIe siècle réalisée par Jean BONNEFOY

Le jubé, séparation entre le chœur réservé aux religieux et la nef où se trouvaient les laïcs, a été érigé au XVe siècle.

A gauche un autel avec une toile d’une descente de croix

 

A droite, l’autel de Saint Robert devant sa pierre tombale très sobre.

 

 

Derrière le jubé se développe un ensemble de 175 stalles du XIVe siècle composant le chœur des moines.

 

Au milieu de ces stalles, le tombeau du pape CLEMENT VI, neveu de Nicolas de BEAUFORT dont le gisant est également présent dans l’abbatiale.

 

Longeant les chœur des moines, les deux bas coté présentent plusieurs gisants et une magnifique dans macabre.

Pour découvrir en détail la danse macabre

Cliquez sur la photo

Gisant de Nicolas de BEAUFORT, archevêque de Rouen

 

Gisant de Smaragde de VICHY - XVe

Gisant d’un ecclésiastique - XIVe

 

Tombeau de l’abbé Réginald de MONCLAR – XVe siècle

 

Autour du chœur, sept chapelles rayonnantes.

Maître-autel de la Pentecôte de la première chapelle du sud - XVIIe

 

 

Troisième chapelle sud du chœur avec son tableau du XVIIIe représentant un jeune noble prononçant ses vœux

 

 

Chapelle Saint Joseph et son retable du XVIIe

 

Vierge en Majesté du XIVe

Autel de la Vierge - XVIIe

 

 

Le buffet d’orgues date de la fin du XVIIe siècle, il a été réalisé par le sculpteur Pierre VANEAU.

La partie instrumentale a été refaite par Marin CAROUGE en 1726.

 

AU chevet, la tour Clémentine de la fin du XIVe siècle. Elle souligne le coté défensif que pouvait avoir l’abbaye.

 

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